1988
JACQUES TOUBON, secrétaire général du RPR, adjoint au maire de Paris
Prix de la bonne conduite

« Même en avion, nous serons tous dans le même bateau. »

 

1989
ANDRE SANTINI, député des Hauts-de-Seine (UDF), ancien ministre délégué à la Communication, ancien maire d’Issy-les-Moulineaux (UDF), à propos du garde des Sceaux

« Saint Louis rendait la justice sous un chêne. Pierre Arpaillange la rend comme un gland. »

 

1990
PHILIPPE SEGUIN, député des Vosges (RPR)

« En 1974, les Français voulaient un jeune : ils ont eu Giscard. En 1995, ils voudront un vieux : ils auront Giscard. »

 

1992
KOFI YAMGNANE, secrétaire d’État aux affaires sociales et à l’intégration (gouvernement Bérégovoy)

« Je suis un Breton d’après la marée noire. »

 

1993
JACQUES GODFRAIN, député de l’Aveyron (RPR)

« Les socialistes aiment tellement les pauvres qu’ils en fabriquent. »

 

1994
JEAN-PIERRE CHEVENEMENT, ministre de la Défense (gouvernement Rocard), à propos des « assises de la transformation sociale », organisées par le Parti socialiste

« Les assises, c’est un peu dur pour le PS, la correctionnelle aurait suffi. »

 

1995
PHILIPPE SEGUIN, président de l’Assemblée nationale de 1993 à 1997

« Avec Delors, les socialistes passent de Léon Blum à Léon XIII. »

 

1996
ANDRE SANTINI, député des Hauts-de-Seine (UDF)

« Alain Juppé voulait un gouvernement ramassé, il n’est pas loin de l’avoir. »

 

1997
RAYMOND BARRE, ancien Premier ministre, député du Rhône (UDF)

« La meilleure façon de résoudre le chômage, c’est de travailler. »

 

1998
MARIE-NOËLLE LIENEMANN, députée européenne (PS)

« Mon mari était jusqu’à présent chômeur, mais je suis en train de changer de mari. »

 

2003
RENAUD MUSELIER, secrétaire d’État aux Affaires étrangères auprès de Dominique de Villepin

« Villepin fait tout, je fais le reste. »

 

2004
JEAN-LOUIS DEBRE, président de l’Assemblée nationale (UMP), à propos de la Corse

« Je n’imagine pas un instant cette île séparée du continent. »

 

2005
NICOLAS SARKOZY, ministre d’État, ministre de l’Intérieur

« Je ne suis candidat à rien. »


2006
SEGOLENE ROYAL, présidente du conseil régional de Poitou-Charentes (PS)

« Même quand je ne dis rien, cela fait du bruit. »

 

2007
PATRICK DEVEDJIAN, président du conseil général des Hauts-de-Seine (UMP)

« Je suis pour un gouvernement d’ouverture, y compris aux sarkozistes, c’est tout dire. »

 

2008
JEAN-LOUIS BORLOO, ministre d’État, ministre de l’Écologie

« Sarkozy, c’est le seul qui a été obligé de passer par l’Élysée pour devenir Premier ministre. »

 

2009
BERTRAND DELANOË, maire de Paris de 2001 à 2014 (PS)

« Le vrai changement au PS, ce serait de gagner. »

 

2010
EVA JOLY, députée européenne (Verts), ancienne juge d’instruction au pôle financier

« Je connais bien Dominique Strauss-Kahn, je l’ai mis en examen. »

 

2011
LAURENT FABIUS, ancien Premier ministre

« Mitterrand est aujourd’hui adulé, mais il a été l’homme le plus détesté de France. Ce qui laisse pas mal d’espoir pour beaucoup d’entre nous… »

 

2012
FRANÇOIS GOULARD, ancien ministre de l’Enseignement supérieur, président du conseil général du Morbihan (UMP)

« Être ancien ministre, c’est s’asseoir à l’arrière d’une voiture et s’apercevoir qu’elle ne démarre pas. »

 

2013
GERARD LONGUET, ancien ministre de la Défense, ancien sénateur de la Meuse (UMP)

« Hollande est pour le mariage pour tous... sauf pour lui. »

 

2014
ALAIN JUPPE, ancien Premier ministre, maire de Bordeaux (UMP)

« En politique, on n’est jamais fini. Regardez-moi ! »

 

2015
NICOLAS SARKOZY, ancien président de la République

« Pour désespérer de François Bayrou, encore faudrait-il que j’aie un jour placé de l’espoir en lui. »

 

2016
BRUNO LE MAIRE, député de l’Eure (UMP) et candidat à la primaire de la droite et du centre 

« Mon intelligence est un obstacle. »

 

2017
FRANÇOIS HOLLANDE, ancien président de la République
Prix remis pour l’ensemble de ses traits d’humour

« Aujourd’hui, je suis à deux doigts d’être aimé. »

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