Avant l’humoriste vivait dans l’angoisse qu’un autre humoriste lui pique une vanne ou la fasse avant lui... Désormais, le malheureux subit une double concurrence tout à fait déloyale. D’un côté, il doit être plus rapide que les tweetos qui dégainent de plus en plus vite, la course à qui aura le meilleur bon mot sur chaque fait d’actu étant devenue le sport numéro 1 des réseaux sociaux. Le pire étant évidemment que, non contents d’être parfois brillants, ces comiques improvisés offrent leurs galéjades bénévolement – ce qui à terme finira par tuer le métier. Salauds d’amateu

Vous avez aimé ? Partagez-le !