
L’Amérique de Sofia Coppola
Ennui lancinant, sentiment du vide et vertige identitaire terrifiants, l’univers coppolien, de Virgin Suicides (1999) à Priscilla (2023), n’omet rien de nos troubles intimes. Peut-être pour nous rendre plus attentifs à l’essentiel. Une invitation cinématographique aux choses simples, pour poursuivre en douceur l’été.
« Sofia Coppola montre une Amérique plus intime »
Suzanne Ferriss
Retraçant le parcours de la réalisatrice, la chercheuse Suzanne Ferriss montre comment elle élabore une œuvre ouverte aux interprétations multiples.
L’art de la playlist
Tim J. Anderson
Zoom sur l’art de la playlist, dont Coppola fait un usage aussi culte qu’étonnant, par le musicologue Tim Anderson.
« Coppola nous introduit dans l’espace intime et secret des jeunes filles »
Anna Backman Rogers
À travers la figure récurrente de l'adolescence « mise en cage », la chercheuse Anna Backman Rogers montre comment le cinéma de Sofia Coppola ouvre une voie pour échapper au piège de la fascination, en invitant à adopter un « regard féminin ».
L’édito du 1
Cage dorée
Maxence Collin
Rarement détail aura fait l’objet de tant d’attention. Une innocente paire de Converse pervenche furtivement glissée au détour d’un plan du Marie-Antoinette (2006) de Sofia Coppola, et c’est l’émoi dans Paris...

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