
Numéro 500, ces 10 ans qui ont changé le monde
Sommaire« Depuis le printemps 2014, écrit Éric Fottorino dans son édito, 500 numéros du 1 ont vu le jour- en dix ans avec l’ambition de vous raconter une époque troublée. » Pour ce faire, l’hebdomadaire propose « une alchimie de savoirs, de points de vue, de manières de penser stimulantes, sans angélisme ni catastrophisme. Dans la nuance. Avec pour conviction première que savoir, que comprendre, calme les peurs et renforce la liberté de chacun ».
Ce numéro anniversaire, tout en évoquant l’histoire du journal, a été l’occasion de demander à dix personnalités de revenir chacune sur un événement ou un phénomène qui a marqué la décennie.
« L’Histoire n’est ni une maladie ni un criminel : elle ne récidive pas »
Patrick Boucheron
L’historien médiéviste Patrick Boucheron nous explique comment la décennie l’a confronté à la notion d’événements et nous dit comment historiens et journalistes peuvent nous aider à comprendre l’époque.
[10 × 1]
Robert Solé
À partir d’un certain âge, le passage d’une dizaine à une autre peut être déprimant, et même angoissant. Souffler ses 50 ou 60 bougies suscite alors ce qu’on appelle en bon français un birthday blues.
L’édito du 1
Les bonnes questions
Éric Fottorino
Depuis le printemps 2014, 500 numéros du 1 ont vu le jour en dix ans avec l’ambition de vous raconter une époque troublée mais que l’on voudrait aussi pleine d’espérance et d’horizons désirables.

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