L’écriture est une lumière dans le chaos de la vie quotidienne
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Un jour, dans le port de Tadjourah, au nord de Djibouti, une amie s’est immolée par le feu. Elle avait 14 ans. Sa famille avait prévu de la marier de force. Mourir était le seul moyen dont elle disposait pour exprimer sa résistance. En brûlant son corps, elle nous a dit : j’ai soif de liberté.
Quinze ans plus tard, j’écrivais un poème : La Femme qui brûle. C’était une manière de prendre le relais, d’exprimer sa révolte, de continuer à faire entendre son cri. On peut cacher l’action d’
« Relisez Noces de Camus ! »
J.M.G. Le Clézio
Comment définir la culture ?
Pour moi, l’important, c’est qu’elle soit mobile. Qu’elle soit le contraire d’un trésor fixé, figé, enfermé dans un coffre. Sa valeur ne tient pas du tout à sa …
[Confiture]
Robert Solé
Au baccalauréat, des jeunes de 18 ans doivent philosopher sur des sujets aussi complexes que « La culture est-elle nécessairement libératrice ? » ou « L’art nous éloigne-t-il de la réalité ? &raqu…
« Ici, un fainéant »
Raphaël Imbert
« Ici, avant un fainéant, aujourd’hui un travailleur ! » C’est ce que l’on pouvait lire il y a peu sur les devantures des ateliers d’artistes de la ville de Fréjus. Ce sont des militants FN qui ont posé ces affichettes. La no…