Pour une fois, le vent a l’air de souffler dans les rues de Medellín en ce début du mois de mars 2020. Les rues sont désertes, la circulation des véhicules est interdite et les gens portent tous un masque… sauf qu’ici la pandémie mondiale de coronavirus n’est pas en cause ! La « ville du printemps éternel » subit des pics de chaleur et donc de pollution jamais atteints. Le masque est déjà entré dans les mœurs des habitants des grandes villes colombiennes, habitués aux contaminations de l’air à répé

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