Selon les chiffres de l’Institut national d’études démographiques (Ined), seulement 5 % des personnes peuvent être considérées comme volontairement sans enfant. Les childfree, pour reprendre le terme utilisé par les Anglo-Saxons, représentent donc une minorité. Si l’on prend l’ensemble des personnes sans enfant, quelles qu’en soient les raisons, on arrive à environ 14 % pour les femmes et 20 % pour les hommes.

Par ailleurs, les chiffres montrent qu’il y a peu d’évolution concernant la proportion de SEnVol (personnes volontairement sans enfant) au cours du XXe et du XXIe siècle. Ce qui change, il me semble, c’est la possibilité de dire son non-désir d’enfant, et de le revendiquer par le biais des réseaux sociaux, d’où cette impression qu’une vague de « non-désir

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