… J’explore
Les échos de la grande armée des morts,
   La tranchée froide, humide,
   Le camp glacé, livide.

Les blessés à la guerre qu’on amène
Aux sinistres hôpitaux de la peine,
   Les couloirs sans la joie,
   Le sol en pierre froid.

Je vois dans cette maison de misère
Une dame qui passe et qui éclaire
   De sa lampe les ombres
   De chacune des chambres.

Et celui qui souffre en silence e

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