[…]
Où faut-il s’arrêter dans l’amour des richesses ?
Tu me demandes mon avis ? Je te réponds : « Doit nous suffire
Ce qu’exigent la soif et la faim, et le froid ;
Ce qui t’a suffi, Épicure, en ton jardinet, ou ce que
Contenait avant toi la maison

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