Chaque chagrin avale son lot de tristesse fugitive
Alors on réchauffe contre nous nos joies répétitives
Caressant les cheveux de notre enfance éthérée
Lui répétant qu’il est encore trop tôt pour crier
On a appris à sourire comme des hommes bien élevés
Pour détourner l’attention de nos sexes souillés
Mais on a oublié de nous montrer comment faire
Pour trouver l’amour et lui prouver qu’on peut lui plaire

Refrain
Mais quand les doutes arrivent, que la honte récidive
Nos joies répétitives savent nous rassurer

On met du noir, du bleu, pour barb

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