EN 1933, un parricide défraye la chronique. Une Parisienne de 18 ans, Violette Nozière, a empoisonné son père et, après une cavale d’une semaine, est passée aux aveux. La presse se déchaîne. Ce « monstre en jupons », qui avait tenté aussi d’éliminer sa mère, est une voleuse et une débauchée, qui traîne dans les bars du Quartier latin. Et voilà qu’au parricide elle ajout

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