Illustration : Statuette magique, Angola, avant 1933 © Musée du quai Branly - Jacques Chirac, Dist. Rmn-Grand Palais / Patrick Gries
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Pourquoi avoir choisi le thème de la prospérité ?
Pour remettre l’humanisme au cœur de la réflexion des économistes. La prospérité est le concept d’un monde plus équilibré, plus juste, plus durable, créateur de possibilités de développement et d’épanouissement. Au moment où montent les tensions et les violences dans le monde, qu’elles soient religieuses, politiques ou sociales, il est important de replacer au centre du débat cette idée que la création de richesses a pour but de permettre l’épanouissement de chacun.
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J’ai étudié à Sciences Po dans la belle ville d’Aix-en-Provence. Diplômé, j’ai occupé un poste de consultant dans un cabinet de conseil en financement public. Cantonné à des tâches rébarbatives et sans intérêt, j’ai tenu quatre mois avant de démissionner. J’ai ensuite trouvé du travail dans ce que j’avais toujours fait en parallèle de mes études : l’hôtellerie. Pendant trois ans, j’ai connu quatre établissements différents, des palaces de Paris, Londres et Genève. En 2016, j’ai rencontré l’amour de ma vie : la boulangerie. J’ai sauté le pas et aujourd’hui je passe un CAP en alternance au Campus des métiers de l’entreprise de Bobigny.
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Vous attendez un enfant, un garçon. Vous viendrait-il à l’idée de le prénommer Prosper ? Sans doute pas. Les prénoms rétros sont pourtant à la mode : on ne compte plus les Arthur, Félix, Léon, Marius ou Victor.
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