On a d’abord restreint le vaste enjeu écologique à la seule question du climat, puis celle du climat à l’unique point des émissions de gaz à effet de serre, puis le problème de ces émissions aux machines déjà constituées qui en étaient une source. On a poursuivi la réflexion en vantant des infrastructures émettant moins de CO2. Ainsi, une voiture électrique pollue moins à l’utilisation qu’une voiture à combustion. Un panneau photovoltaïque produit une énergie moins émettrice de CO2 qu’une centrale à charbon ou à gaz. Des tours éoliennes aussi. On qualifia donc de « vertes » ces pratiques.

Pour censurer la pensée sur toutes les implications en amont de telles constructions – mobilisation de la machinerie lourd

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