Ce que j’aimerais pour la France ? Je suis un peu pessimiste. La France toute seule, je ne sais pas si ça existe… Je suis à peu près persuadé que non. Ce qui existe, c’est la communication de l’intelligence. Les défis du monde sont à dominante intellectuelle. Et je ne vois pas que notre culture nationale nous aide. Le mot national est un enfermement. Dès qu’une réponse nationale intervient, elle restreint. La référence nationale entrave une activité de la pensée à la taille des enjeux de survie de l’humanité. La sortie de la crise actuelle passe par le monde de la pensée, à condition qu’il ne reste pas national, qu’il déborde le quantitatif et le purement rationnel. Réconcilie

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