Yehuda Amichaï se disait « un fanatique de la paix ». Son œuvre, à la fois joyeuse et mélancolique, est liée à Jérusalem, qu’il a habitée de 1935 à sa mort. Une ville dont l’air, écrivit-il, est chargé de prières et de rêves comme l’air au-dessus des villes industrielles. Il fut un temps où ses poèmes le rendaient plus respirable. 

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