Que ce soit en Algérie ou au Maroc, la musique s’est invitée dans les manifestations et les soulèvements, fidèle à une longue tradition de chants critiquant le pouvoir en place. Une contestation que l’on trouve surtout du côté des rappeuses au Maroc. Elles s’appellent Khtek (« Ta sœur » en français), Krtas Nssa (« Munitions de femmes »), Tendresse ou encore Manal. Elles parlent du harcèlement de rue, de santé mentale et de culture amazigh (berbère). Même tendance en Algérie, avec la rappeuse Raja Meziane dont les titres Allô le système ! ou Doña Victoria contestent ouvertement le régime prédateur dans son pays et remportent

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