Ils sont de retour, ces mannequins de cire que conspuait Aragon durant le procès Pétain, ces maurassiens manifestant « pour l’Injustice et la Trahison, pour Pétain et contre la France ». En 1943, dans Le Musée Grévin, le poète fustigeait les « faux Croisés faiseurs de fantasmagories », avant de dire l’horreur d’Auschwitz. 

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