Autant l’avouer : l’air que l’on respire ne m’inspire pas. Il me donne comme un sentiment de vide. C’est ce qu’on appelle sans doute le syndrome de la page blanche. Bien sûr, il me serait possible de brasser du vent, mais vous protesteriez à juste titre en vous exclamant : « Il ne manque pas d’air, celui-là ! &r

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