Sans peindre le futur en noir, un regard objectif sur le vote des jeunes éclaire les risques qui pèsent sur notre vie démocratique. La fougue citoyenne, en effet, n’habite guère les générations nouvelles. Certes, elles ne se désintéressent pas de la politique et même manifestent un réel intérêt pour elle – en 2012, 59 % des 18-24 ans, selon l’Ifop, déclaraient un fort intérêt pour la présidentielle contre 52 % dans l’e

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