En danseuse
Que serait le Tour sans ses grands sommets ? Sa réputation montagneuse a même franchi un océan pour inspirer les champions colombiens, après avoir donné des ailes, entre autres, au Belge Lucien Van Impe. Mais le cyclisme moderne a fini par éroder ses reliefs. Au point que l’épreuve cherche – et trouve – des difficultés inédites pour perpétuer le règne des grimpeurs.Temps de lecture : 0 minutes
« J’aime monter par à-coups »
Comment devient-on grimpeur ?
C’est d’abord une question génétique : vous devez avoir la chance d’avoir une morphologie longiligne qui permette de passer les bosses. Vous pouvez aimer le grand air des cols, si vous avez un physique mass…
L’art de la descente
Romain Bardet
Je n’ai jamais peur en descente. J’ai un sentiment de maîtrise, même si c’est une vue de l’esprit. En course, on prend beaucoup de virages à l’aveugle, avec des revêtements un peu hasardeux. Mais au sortir d’un virage, je pense souvent que j’aurais pu passer plus vite. Quand la …
L’art de la descente
Romain Bardet
Je n’ai jamais peur en descente. J’ai un sentiment de maîtrise, même si c’est une vue de l’esprit. En course, on prend beaucoup de virages à l’aveugle, avec des revêtements un peu hasardeux. Mais au sortir d’un virage, je pense souvent que j’aurais pu passer plus vite. Quand la …