À travail égal, pas de salaire égal. C’est le constat désormais solidement étayé par Les Glorieuses, collectif qui s’était fait connaître en 2016 en rendant public ce chiffre de nature à frapper les esprits : s’il y avait une égalité salariale en France, les femmes pourraient s’arrêter de travailler à partir du 3 novembre à 11 h 44, toutes les heures travaillées au-delà de ce seuil l’étant « bénévolement ». L’association féministe est allée plus loin que ce coup médiatique, proposant une étude approfondie des causes de cette marche salariale, semble-t-il infranchissable, qui, aussi improbable que cela paraisse, est même en train de s’accroître à nouveau depuis quelques années. Les résultats de cette étude f

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