Le débat politique aux États-Unis a pris un caractère hystérique. Pourquoi tant de haine ? Qu’on ne compte pas sur moi pour jeter la pierre à un homme accablé de faux reproches. Non à la trumpophobie !

Le seul but de cet homme – il le dit et le répète – est de rendre l’Amérique grande à nouveau. Où est le mal ? Sous son règne, la Maison-Blanche a été respectée comme jamais dans le monde. Et le monde a ouvert les yeux : grâce à Donald Trump, nous avons compris que le soi-disant réchauffement climatique a été inventé par les Chinois pour détruire l’industrie américaine.

Trump, c’est moins d’impôts, moins d’immigration, moins de produits importés, moins de dépenses inutiles à l’étranger pour de mauvais alliés. Trump, c’est plus de fermeté, plus de générosité, pour purifier Washington de tous les parasites qui l’encombrent et écrasent le peuple.

On s’évertue à vouloir définir le trumpisme. C’est pourtant simple : le trumpisme est ce que Trump croit, selon les circonstances et son humeur du moment. Un leader charismatique n’a besoin ni de programme ni de conseils. Contrairement à cette lopette de Biden, voilà un chef, viril à souhait. Un homme, un vrai. Le trumpisme est un humanisme.

N’en déplaise aux ennemis de l’Amérique, la victoire de Donald en novembre est acquise : to trump en bon anglais ne signifie-t-il pas « l’emporter » ? En 2020, on lui a volé sa réélection en bourrant les urnes. Maintenant, on cherche à l’empêcher d’être candidat par les moyens les plus perfides. Des juges communistes le persécutent pour des broutilles. Cet homme est blanc comme neige. Une couleur qu’on ne lui pardonne pas d’incarner. 

 

Illustration Stéphane Trapier

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