Vous voilà donc réélu, monsieur le président. Entendez-vous déjà ce brouhaha ? Non, non, il ne s’agit pas d’applaudissements, mais de grondements et de menaces. C’est désormais le sort du vainqueur, quel qu’il soit. On a besoin d’un roi pour lui couper la tête, sans même attendre son couronnement, car tout s’accélère. L’état de grâce qui était censé dure

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