Jusqu'où la guerre ?

Jusqu'où la guerre ?

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Images de détresse, de ruines, de cratères vertigineux, de corps sans vie. En contrechamp, Poutine reste droit dans sa lâcheté, violant toutes les règles de la paix sans personne pour le défier autrement qu’avec des mots et des atteintes au portefeuille. Alors, sur qui la population d’Ukraine sacrifiée sous nos yeux peut-elle compter pour que le cauchemar s’arrête, face à un tyran qui fait mine de négocier, mais ne feint jamais de tuer ? Si l’Europe a constitué un front uni de désaveu, de sanctions, de soutien armé aux Ukrainiens, les agressés restent bien seuls pour défendre leur patrie. À qui s’en remettre pour que cesse la guerre ? Tabler sur le dégel qui enlise les chars ? Sur la pression du peuple russe ? Ou sur le seul courage des Ukrainiens, qui continuent de mourir chaque soir au journal télévisé ?

Le violeur et sa victime

Le plus vil des autocrates

Vladimir Maïakovski - Notre dette envers l’Ukraine

L'interventionnisme à la russe

« Un nouvel Afghanistan »

Pour l'ancien colonel et historien Michel Goya, les forces ukrainiennes font subir des pertes sans précédents à l’armée russe, qui ne peut sortir gagnante.

[Guerre]

Réfléchissez : comment la Russie pourrait-elle faire la guerre à l’Ukraine alors que l’Ukraine fait partie de la Russie ?

« Cette guerre nous mène à la fin du régime Poutine »

Le spécialiste de la Russie Jacques Rupnik affirme que même si le maître du Kremlin a étouffé toute opposition intérieure, cette guerre met en péril le contrôle qu’il exerce sur les sphères de pouvoir.

L’édito du 1

Le violeur et sa victime

Éric Fottorino

Sur qui la population d’Ukraine sacrifiée sous nos yeux peut-elle compter pour que le cauchemar s’arrête, face à un tyran qui fait mine de négocier, mais ne feint jamais de tuer ?

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La colombe de la paix crucifiée et lacérée d’un « Z », symbole du soutien des nationalistes russes à la guerre (zapad, « ouest », indiquant la direction de l’Ukraine) © Anna Sarvira

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