Le temps d’écrire les dernières lignes de cette chronique, plusieurs mails seront probablement arrivés dans ma boîte, des dizaines de notifications seront tombées sur les applications de mon smartphone, une urgence se sera rappelée à ma mémoire, tandis qu’un collègue aura entamé une conversation feutrée mais perturbante dans l’open space, m’obligeant à revenir quelques paragraphes plus haut. J’en aurai déduit, peut-être, qu’il serait mieux de l’écrire plus tard, le week-end prochain par exemple, « quand j’aurai le temps ». Mais si c’est en effet un dimanche que je m’y mets, dans ce cas j’emploierai à travailler ce capital de moments précieux et rares où l’on peut enfin « prendre

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