Ce poème date de 1942, alors que fait rage la bataille de Stalingrad… et que l’époux de la poétesse meurt au goulag. Admirée par Anna Akhmatova, pourfendeuse des purges staliniennes, par Ossip Mandelstam, mort en chemin vers les camps de la Kolyma, la Russe Maria Pétrovykh ne publia qu’un unique recueil en 1968, L’Arbre lointain.  

On s’éveille, on s’endort – la guerre, la gue

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