Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, l’Amérique latine constitue une terre d’accueil pour un grand nombre de nazis non repentis. Aujourd’hui encore, groupuscules et mouvements suprémacistes blancs s’agitent aux quatre coins du continent. Leur influence reste marginale mais leurs actions, parfois violentes, marquent la survivance sur le territoire d’une idéologie fondée sur l’inégalité des « races ». En voici quelques exemples. 

ARGENTINE
Si le Parti du Nouveau Triomphe – mouvement néonazi le plus important du pays – a été interdit par la Cour suprême en 2009, pour autant les idées suprémacistes et négationnistes n’ont pas totalement disparu d’Argentine, comme le prouvent de récentes agressions. En 2013, un groupe de jeunes catholiques ultraconservateurs faisait irruption dans la cathédrale de Buenos Aires pour perturber la commémoration interreligieuse du 75e anniversaire de la Nuit de cristal, considér&eacut

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