Preuve que le poisson pourrit toujours par la tête, c’est depuis l’élection de Donald Trump à la présidence des États-Unis que les hate groups, parmi lesquels les fameux suprémacistes blancs, ont connu un pic de progression brutal, après avoir été relégués pendant plus d’un demi-siècle dans les catacombes de la société américaine. La chose s’est produite dans ce sens, il est important de le souligner. Les chiffres sont sans appel sur ce point.

Le problème racial a toujours été la plaie à la fois secrète et béante de l’Amérique, mais rien ne laissait présager qu’il puisse à nouveau envahir ainsi l’espace public dominant, avant que n’accède à la Maison-Blanche l’ex-promoteur immobilier. Nulle progression lente de la «&

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