Il se présente parfois comme « le dernier des Mohicans ». Henry Hermand ne cesse pourtant de regarder devant lui. La Résistance ? C’est loin. Les années de la Libération, la respiration militante ? Il n’en parle plus guère. La lutte contre les guerres coloniales ? C’est du passé. Non, ce qu’il aime évoquer, c’est sa passion pour la presse, une passion qui lui semble naturelle, évidente. Henry Hermand est un homme qui a toujours lu l’article qu’il faut lire avant vous et s’étonne que vous ne l&r

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