Longtemps, le 1 s’est appelé In fine. Avec Éric Fottorino, nous nous retrouvions dans un café près du Luxembourg. On rêvait de lancer un journal fougueux qui traite l’actualité différemment. C’était généralement dans les heures calmes du matin et nous avions la fièvre. 

Au bout de quelques mois, Natalie Thirie

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