De ce qui n’est plus qu’une carcasse qui paraît rassembler tout ce qui lui reste de force pour ne pas s’effondrer, l’âme s’épuisait depuis des années à essayer de demeurer chez elle. En approchant Notre-Dame, ce ne sont pas les bas-reliefs représentant les travaux des mois de l’année du portail de la Vierge ni la pesée des âmes du portail du Jugement dernier qui, de nos jours, servent de propédeutique au recueillement qu’appellent, pour les uns, la foi et la prière et, pour tous, la beauté, créée et servie ici par des générations d’artistes et d’artisans presque tous anonymes. Ce sont désormais des pictogrammes qui, depuis trois ou quatre décennies, marquent l’entrée de la cathédrale : un

Vous avez aimé ? Partagez-le !