François Cheng - A l’orient de tout, là où se souvient
Temps de lecture : 1 minutes
À l’orient de tout, là où se souvient
La mer, l’orage a dispersé écailles
Des dragons, carapaces des tortues
Nous nous prosternons vers le pur silence
Régnant par-delà la terre exilée
À l’heure du soir, à l’orient de tout
Où se lève le vent de l’unique mémoire
Né à Nanchang en 1929, François Cheng est naturalisé français en 1971. Son œuvre cristallise un itinéraire spirituel en calligraphies, essais, traductions, romans et poèmes. Semblant associer ici la mer baudelairienne aux dragons et tortues chinois, pour composer en six décasyllabes et un alexandrin un poème métaphysique universel.
Livre du Vide médian © Éditions Albin Michel, 2004
« La France est passée du laxisme à la vigilance »
Claude Meyer
Que représente la France dans les investissements chinois ?
Notre place est modeste. Nous représentons à peu près 2 % des investissements chinois dans le…
[Cochon]
Robert Solé
Ils se sont dit (bonne année) le 5 février dernier. Dans plusieurs quartiers de Paris, le Nouvel An chinois a donné lieu aux festivités habituelles : danses du lion, ouverture de l’œil du dragon, défilés au rythm…
Comment la Chine séduit la France
Manon Paulic
Il semblerait que le ruan shili, autrement dit la diplomatie culturelle chinoise, n’ait pas la cote dans l’Hexagone. Selon une récente étude du Pew Research Center, un prestigieux think tank américa…