Je vis que j’étais né dans ces phases brillantes
Où des États vieillis les bases chancelantes
Dans l’abîme des temps s’écroulent à grand bruit,
Où tout dans l’univers ou change ou se détruit ;
Je le vis ; et de loin, dans la terreur commune,
J’en rendis grâce aux dieux et bénis ma fortune.
Réjouis-toi, César, ces jours sont faits pour toi !
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