Vous me faites doucement rigoler, vous, les journalistes, avec vos velléités d’indépendance économique. Comme si vos publications pouvaient se passer d’un vrai patron ! Croyez-vous vraiment que vos lecteurs financeraient vos salaires et vos coûts d’impression ? Où en seriez-vous si des gens comme moi ne vous avaient sauvés de la faillite ?

Un patron est un patron. Rappelez-vous Marcel Dassault. Le grand avi

Vous avez aimé ? Partagez-le !