Restaurer la tour Eiffel, c’est un peu comme maquiller une éléphante en plein numéro de cirque, au milieu du public : exercice à la fois loufoque et compliqué. Bien sûr, dans le cas de la tour, ça sert à quelque chose car elle aura 130 ans l’an prochain, la chère grande bringue. Et il faut qu’elle soit à son summum de beauté et de sécurité en 2024 pour les Jeux olympiques. Les travaux avancent tambour battant, nonobstant une somme de contraintes ahurissante qu’énumère Laurence Mithouard, responsable de l’aménagement à la Société d’exploitation de la tour Eiffel (SETE).

La première difficulté qui surprend chez pareille géante, c’est l’exiguïté des locaux. L’espace manque

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