Dix grands moments d’optimisme tricolore
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« Il se passe quelque chose de beau en France »
Jean-Benoît Nadeau
L’élection d’Emmanuel Macron est-elle le signe d’une bouffée d’optimisme en France ?
Absolument ! Si Macron a réussi à faire campagne pendant douze mois sans programme, c’est parce qu’il incarnait quelque chose de complètement nouveau : un optimisme revendiqué. Les discours de Mélenchon et de Le Pen se résumaient à l’idée que tout va mal et que tout va aller en empirant. Lui est arrivé en assurant que les problèmes pouvaient être réglés en parlant. Churchill disait que « l’attitude est une petite chose qui fait une grande différence ». C’est tout à fait ça. Au fond, Macron a fait l’inverse de Trump : il a mené une campagne optimiste dans un pays où régnait un pessimisme ambiant. Et avec son élection, les optimistes ont fait leur coming out.
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[Sinistrose]
Robert Solé
Je positive, tu positives… Fabriqué par les publicitaires, le verbe « positiver » a fini par entrer dans le dictionnaire. C’est une injonction, quasiment un ordre : il faut absolument se montrer confiant et optimiste.