Qiu Xiaolong

En 1989, alors qu’il poursuit des études de littérature aux États-Unis, les événements de Tian’anmen le dissuadent de rentrer en Chine. À ­travers ses romans policiers, il s’efforce aujourd’hui de scruter les maux de son pays natal. Il a notamment publié Mort d’une héroïne rouge (Liana Levi, 2001) et Chine, retiens ton souffle (id., 2018), dont ce texte est extrait.