Petite histoire des dictionnaires
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« Je suis contre l’idée que la langue doit rester fermée pour subsister »
Alain Rey
Le Petit Robert fête ses 50 ans. Son succès était-il écrit ?
On peut parler de divine surprise. La veille de sa première édition, je me disais que ce serait formidable de réaliser une vente de 20 000 exemplaires. Or, sans publicité, nous avons vendu plusieurs dizaines de milliers de volumes pour atteindre les années suivantes jusqu’à 250 000 exemplaires par an. Son succès doit beaucoup aux professeurs du secondaire, au bouche-à-oreille. Trois semaines après le lancement, la librairie Lamartine, à côté du lycée Janson-de-Sailly, à Paris, nous consacrait une vitrine entière.
Vous avez fait le buzz.
Oui !
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[Amour]
Robert Solé
Il y a une dizaine d’années, l’Institut allemand des relations extérieures avait eu la curieuse idée d’élire « le plus beau mot du monde ». Quelque 2 500 termes, recommandés par des citoyens d’une soixantaine de pays, étaient soumis au vote.
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