Au secours, ChatGPT ! Je dois écrire une chronique sur le futur.
– Pas de panique, je suis là pour vous aider.
– On se tutoie, non ?
– Oui, bien sûr. De quel futur veux-tu parler ?
– L’humanité en 2040, résumée en une douzaine de mots.
– 1, technologie ; 2, durabilité ; 3, innovation ; 4, intelligence artificielle ; 5, mondialisation ; 6, santé ; 7, collaboration ; 8, connectivité ; 9, exploration ; 10, changement ; 11, adaptation ; 12, espoir.
– Non, non, pas un catalogue : une phrase bien construite.
– En 2040, le monde sera façonné par une convergence accrue entre les avancées technologiques, les défis environnementaux et les transformations sociales, créant un paysage global complexe et interconnecté.
– Tu n’as rien de plus littéraire ?
– En l’an 2040, les fils entrelacés des progrès technologiques, des énigmes environnementales et des métamorphoses sociétales tisseront un canevas mondial d’une complexité exquise, où chaque fil croisé révélera l’interconnexion vibrante de notre destinée commune.
– Quels seront les méfaits de l’intelligence artificielle ?
– Ces méfaits potentiels pourraient inclure la perte de contrôle sur les systèmes autonomes avancés, la création d’algorithmes biaisés renforçant les inégalités, et des menaces croissantes pour la confidentialité et la sécurité des données personnelles. Cependant…
– J’ai besoin d’une conclusion incisive.
– En conclusion, l’IA peut potentiellement affecter nos compétences et nos processus cognitifs, mais elle peut aussi offrir des opportunités d’amélioration et d’innovation si elle est utilisée de manière réfléchie et responsable.
– Donne-moi une chute un peu plus drôle.
– En 2040, grâce à l’IA, nos robots pourraient probablement préparer un meilleur café que nous, mais reste à voir s’ils seront capables de comprendre nos blagues ratées.
– Haha ! Excellent ! Merci Gepeto. À la semaine prochaine.