De l’indifférence à l’engagement
Temps de lecture : 2 minutes
Longtemps, Simone de Beauvoir se désintéressa de la politique. Étudiante en philosophie, l’engagement lui semblait inutile. Durant les années 1930, son attitude et celle de Sartre furent celle de petits bourgeois comme elle le soulignera dans La Force de l’âge. Elle accepta le flux des événements avec détachement. Elle était, selon son mot, « anarchiste ». Bref, elle faisait cohabiter sa « haine de l’ordre bourgeois » et sa recherche effré
« Elle nous a ouvert les portes de la liberté »
Élisabeth Badinter
Pour Elisabeth Badinter, l’apport de Simone de Beauvoir est un héritage précieux. Si sa pensée est passée à côté de la question de la féminité, elle constitue néanmoins une leçon d…
L’autre Beauvoir
Nancy Huston
Ce qui perturbe le plus dans la correspondance de Simone de Beauvoir avec son amant Nelson Algren, c’est l’indifférence voire l’hostilité qu’y affiche l’auteure à l’égard des femmes. À propos d’une de ses amies, elle dit sans ambages : « C’est une des très rares femmes que j’aime bien » (21 juin …
L’autre Beauvoir
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