Les terroristes l’ont écrit en lettres de sang dans les rues de Paris et aux abords du Stade de France, à Saint-Denis. Dans leur enfer rêvé, on ne s’installe pas aux terrasses des cafés. On ne se masse pas dans les salles de concert pour écouter un groupe de rockers américains nommé Eagles of Death Metal. On ne se rassemble pas non plus dans un stade de football.
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