En ce temps-là, Paris régnait sur la Syrie qu’on nommait « mandataire ». Après les accords Sykes-Picot signés en 1916, l’Occident s’était partagé l’Empire ottoman.
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Le géographe affirme que la victoire du président syrien est due à trois principaux facteurs : le contrôle des villes principales, le déplacement d’une partie de la population sunnite dans des camps et un soutien militaire de ses alliés.
Écrivain et poète syrien, l’auteur de Fullblood Arabian vit à Chicago depuis 2008. Né à Damas dans une famille de professeurs, il est aujourd’hui chauffeur de taxi.
L’auteure questionne son père disparu sur l’héritage transmis. Elle lui parle de sa petite-fille, emprisonnée pour avoir manifesté pour la liberté, allant ainsi contre la peur héritée des générations précédentes.
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