" Être expatrié français à Londres, quel luxe ! Je profite des deux plus belles villes d’Europe dans une seule et même vie. Sauter dans l’Eurostar le vendredi soir à Saint-Pancras pour aller dîner sur les quais de Seine, c’est la vraie liberté. "

Cyril Blain
30 ans, chef de projetchez BNP Paribas,À Londres depuis 6 ans

 

" Lorsque j’ai quitté mon petit village près de Toulouse, c’était pour casser la routine. Je n’aimais plus me lever le matin en sachant de quoi serait faite ma journée, et celle du lendemain. C’était une vie rassurante, sans risque. Aujourd’hui, en tant qu’expatrié, je ne sais pas où le Chili va me mener. C’est ça qui me plaît. "

Adolphe Parolin
34 ans, employéchez SoletancheBachy, À Santiagodu Chilidepuis 5 ans

 

" Depuis six ans, je pars régulièrement à l’étranger comme volontaire. Être nourrie et logée me suffit. Grâce aux voyages, j’ai appris à me satisfaire de peu. Et l’ailleurs en vaut bien la peine, c’est une si belle manière de s’épanouir personnellement et professionnellement. Je n’ai rien contre la France, mais l’étranger regorge d’opportunités, de possibilités. Ce serait idiot de s’en priver. "

Marine Leduc
24 ans, volontaire en Roumaniedans une association d’éducation populaire,À Bucarest depuis 6 mois

 

" En partant travailler en Australie comme park ranger (gardien de parc naturel), j’ai appris un métier qui n’existe pas en France. Je couvre tout le Queensland, un domaine qui fait trois fois l’Hexagone. Partir aux aurores surveiller une population de wallabies, dormir dans une cabane au milieu du désert, plonger pour protéger la Grande Barrière de corail. Mes journées se suivent mais ne se ressemblent jamais."

Élisa Detrez
29 ans, lauréate du concours« meilleur job du monde »en australie depuis 8 mois

 

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