L’hémicycle de la Rada suprême d’Ukraine, le Parlement monocaméral du pays, septembre 2020
© Ivan Nikolayev / Tass / Abaca

La laure de Petchersk, ou « monastère des Grottes de Kiev »),
février 2020. Cet ensemble dont l’origine remonte à 1051 est,
avec la cathédrale Sainte-Sophie, l’un des deux premiers monuments d’Ukraine à être inscrits, en 1990, au patrimoine mondial de l’humanité par l’Unesco
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Le quartier historique de Podol, bordé par le Dniepr, août 2016
© Stringer / Sputnik / AFP

Vue de la place de l’Indépendance, anciennement nommée
place Lénine, et des bâtiments à l’architecture stalinienne néoclassique qui l’entourent, octobre 2019. Au premier plan, surmontant la colonne du monument à l’Indépendance érigé en 2001, se trouve la statue de Berehynia, une déesse slave devenue la mère symbolique de l’Ukraine sous l’impulsion des folkloristes nationalistes des XIXe et XXe siècles
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Monument à saint Voldymyr le Grand, octobre 2019. Datant de 1853 et installée en haut du parc de la colline Volodymyrska, cette statue célèbre le prince qui, à la fin du IXe siècle, a converti la Rous’ de Kiev au christianisme orthodoxe
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La cathédrale Sainte-Sophie de Kiev, dont les fondations remontent au XIe siècle mais dont la physionomie actuelle est caractéristique du baroque ukrainien, février 2020
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Le hall principal de la gare de Kiev-Passajyrsky, août 2016
© Vincent Mundy/Bloomberg / Getty

Derrière la laure de Petchersk, le monument de la Mère-Patrie,
février 2020. Installée dans le parc du Musée de l’histoire de l’Ukraine dans la Seconde Guerre mondiale, cette statue a été inaugurée en 1981 par le dirigeant soviétique Leonid Brejnev
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