Les discours-fleuves à la Castro ne sont pas son genre. Donald Trump est plutôt un adepte de la concision, comme l’indique sa manie de Twitter. Tout au long de la campagne électorale, il a inondé le réseau social de petits textes acerbes, ironiques, parfois grossiers, sinon orduriers, ne dépassant pas les 140 signes autorisés. On pensait qu’une fois &ea

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