Paru le 24 août 2018

 

C’est désormais une tradition : à chaque rentrée littéraire le 1 donne la parole aux libraires pour qu’ils nous livrent leurs recommandations parmi l’abondance de nouveautés qui couvrent leurs étals.

Autre lieu essentiel pour la transmission et le goût de la lecture : les bibliothèques. Alors que le 1 inaugure sa « Bibliothèque idéale » avec une deuxième feuille consacrée à L’Étranger d’Albert Camus, il semblait aller de soi de faire de ces espaces, qu’ils soient publics ou privés, le thème du grand dossier de ce numéro.

 

 

Le choix des libraires
critiques et extraits

De L’Abattoir de verre de J.M. Coetzee au Sillon de Valérie Manteau en passant par Le Monarque des ombres de Javier Cercas, 15 libraires nous parlent de leur coup de cœur de la rentrée littéraire parmi les nouveautés françaises ou étrangères. De précieux conseils de lecture.

 

« La bibliothèque est pour tout le monde »
entretien avec ERIK ORSENNA

Au nombre de 16 500, les bibliothèques sont le deuxième réseau culturel après les cinémas et le deuxième réseau de service public après la poste. Autant de portes d’entrée sur cette autre bibliothèque qu’est le monde. L’écrivain livre un plaidoyer pour une politique publique favorable à ces lieux de livres devenus lieux de vie.

 

La bibliothèque de Charles Juliet
CHRISTINE FERNIOT

Chez Charles Juliet, « les livres ont dévoré l’espace ». II a accepté de nous ouvrir les portes de son appartement lyonnais et de nous conter, à travers l’histoire de sa bibliothèque, une vie de lecture et d’écriture. À 80 ans, l’auteur de Lambeaux estime, comme Goethe, tout juste « commencer à savoir lire ».

 

 

 

La bibliothèque idéale du 1 : L’Étranger, d’Albert Camus
avec BOUALEM SANSAL, JULIEN BISSON, RAPHAËL ENTHOVEN et un grand poster signé JACQUES FERRANDEZ

Dans ce 1er volet de sa « Bibliothèque idéale », le 1 revient sur la genèse et la portée de ce chef-d’œuvre de la littérature du xxe siècle qu’est L’Étranger. Si ce roman reste aujourd’hui l’un des livres de poche les plus vendus, c’est sans doute, comme l’explique le philosophe Raphaël Enthoven, parce qu’il est une invitation subversive à comprendre plutôt que juger.

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