Le monde sauvage et nous : détruire

Le monde sauvage et nous : détruire

Sommaire

Un milliard. C’est le nombre d’animaux marins, coquillages et crustacés notamment, décimés en quelques jours dans le nord-ouest de l’Amérique, terrassés par la vague de chaleur de début juillet et son mercure approchant les 50 degrés. Il y a deux ans, ce sont des incendies géants, conséquence de la canicule estivale, qui avaient ravagé l’Australie et provoqué la mort ou la migration de trois milliards d’animaux, reptiles, oiseaux ou mammifères. Sous nos yeux impuissants, une vaste part de la biodiversité disparaissait, réduite à néant. Dans ce premier numéro de notre série d’été consacrée au monde sauvage, le 1 fait le point sur ce processus de destruction.

Silence sauvage

Une guerre contre nous-mêmes

Hans Magnus Enzensberger - La fin des hiboux

Des disparitions emblématiques

« Moins un écosystème contient d’espèces, plus il est fragile »

Un milliard. C’est le nombre d’animaux marins, coquillages et crustacés notamment, décimés en quelques jours dans le nord-ouest de l’Amérique, terrassés par la vague de chaleur de début juillet et son mercure approchant les 50 degré…

[Barbatruc]

POURQUOI chercher midi à quatorze heures alors que le sauvetage des espèces menacées a été brillamment résolu dès 1974, il y a plus de quarante ans ? Rappelez-vous : dans L’Arche de Barbapapa, les petits personnages qui peuvent prendre toutes les formes défendent les animaux pourchassés …

Une sixieme extinction ?

Au cours des dernières décennies, le rythme de disparition de la faune sauvage a crû à un rythme alarmant. Sont désormais concernées des espèces de toute taille, dans tous les milieux naturels, à commencer par les zones tropicales humides, riches en biodiversité. Assiste-t-on à un phénomène compa…

L’édito du 1

Silence sauvage

Julien Bisson

Un milliard. C’est le nombre d’animaux marins – coquillages et crustacés, notamment – décimés en quelques jours dans le nord-ouest de l’Amérique, terrassés par la vague de chaleur de début juillet et son mercure approchant les 50 degrés.

Lire l'article
Un dodo, espèce disparue au XVIIe siècle, représenté par F.W. Frohawk (1861-1946) © Muséum national d’histoire naturelle, dist. RMN-Grand Palais / image du MNHN, bibliothèque centrale

article offert

Retour

Nous vous proposons une alternative à l'acceptation des cookies (à l'exception de ceux indispensables au fonctionnement du site) afin de soutenir notre rédaction indépendante dans sa mission de vous informer chaque semaine.

Se connecter S’abonner Accepter et continuer